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Smashwords promotion d’été

Bonjour à toutes et tous !

Je suis ravi de pouvoir annoncer que tous mes livres seront en promotion sur Smashwords pendant tout le mois de juillet, dans le cadre de leurs soldes annuelles été/hiver ! C’est l’occasion pour vous de vous procurer mes livres, ainsi que ceux d’autres auteur•e•s, à prix réduit et de vous lancer sans tarder dans la lecture.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, Smashwords est une plateforme formidable pour les auteur•e•s indépendant•e•s. N’hésitez pas à créer un compte : c’est simple et gratuit. Vous découvrirez beaucoup de noms familiers et inconnus.

Vous trouverez la promotion ici à partir du 1er juillet, alors retenez le lien : https://www.smashwords.com/shelves/promos

Pour information, mes livres seront à -50 % pendant tout le mois que dure la promotion.

Partagez cette promotion avec vos proches. Vous pouvez même copier-coller ce message et l’envoyer par e-mail à vos ami•e•s féru•e•s de lecture !

Merci pour votre aide et votre soutien !

Avant tout – bonne lecture !

Semaine de réduction sur Smashwords

NOTEZ LA DATE

Du 2 au 8 mars 2025, Smashwords, la plateforme indépendante pour auteur.e.s d’ebooks, organise sa semaine annuelle « Read an Ebook », la semaine spéciale pour les lectrices et lecteurs d’ebooks.

Pour fêter cet événement, tous mes ebooks (en anglais, français et allemand) sont disponibles sur cette plateforme à -25%!

Comment faire ?

C’est très simple : suivez le lien ci-dessous pour atterrir sur une page où tous mes romans disponibles sont listés.

Il suffit de parcourir la liste et de sélectionner le livre qui vous intéresse pour profiter de ce joli petit rabais de 25%.

Valable uniquement entre le 2 et le 8 mars 2025 !

Lien

https://www.smashwords.com/books/search?query=dieter+moitzi

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Les nouvelles aventures débutent le 16 décembre!

| Français |

Ça y est, relecture, correction, mise en page, upload sur les différents sites – c’est fait, c’est accompli. Mon dernier opus est donc d’ores et déjà disponible en français.

De quoi que je cause? Ben, le tome 2 des Aventures Extraordinaires, pardi! La suite de la découverte du monde des extraordinaires par notre jeune et intrépide Simon Dale, le British le plus mignon (après Kit Connor, bien sûr). Une fois de plus, il sera aux côtés de son ex-patron (et peut-être bientôt ex-ex-patron, qui sait?), le vampire Rodélio de Montserrat, sous-secrétaire de l’UNBUA, le Bureau des Nations Unies pour les Affaires Extraordinaires.

Voici le résumé tout officiel:

Simon Dale vient de se faire licencier de son poste fascinant quoiqu’éphémère au sein du Bureau des Nations Unies pour les Affaires Extraordinaires (United Nations Bureau of Uncommon Affairs ou UNBUA). Il retourne vivre chez son père, dans l’Oxfordshire, où il passe quatre semaines à broyer du noir. Il apprend également davantage sur le monde fascinant des extraordinaires. Grâce à un livre. C’est probablement là que le bât blesse – il aurait préféré un apprentissage bien plus attrayant aux côtés de son bel ex-patron.

Un jour, il décide d’aller se promener dans la forêt qui se trouve sur la propriété de son papa. Ce qui devait être une balade innocente et tranquille prend une tournure surprenante. D’abord, il tombe sur un groupe d’enfants malicieux et invisibles. Puis, il découvre qu’un certain vampire séduisant l’attend dans le seul motel que compte son village.

Ce vampire s’avère être… son ancien patron, Rodélio de Montferrat. L’homme que Simon souhaitait ardemment revoir. Sans surprise, il n’a guère le temps de profiter de ces heureuses retrouvailles qu’il se fait emmener loin de chez lui.

Une nouvelle aventure commence, qui, cette fois-ci, mène les deux hommes en Amérique du Sud. Ils doivent affronter d’innombrables dangers inédits : fusillades, rencontres désagréables, rivières et montagnes périlleuses, plantes rebelles, chatons cracheurs de feu, même un toit sans maison… De surcroît, ils se rendent compte que les mystères qu’ils tentent de percer sont de plus en plus inextricables.

Il en va de même pour les sentiments qui les unissent. Si seulement Simon pouvait arrêter de se poser trop de questions inutiles…

Le roman sort le 16 décembre prochain en format ebook et livre broché.

Mais bien sûr, vous pouvez d’ores et déjà placer votre pré-commande, soit

• sur Amazon: https://www.amazon.fr/dp/B0DPL4LW6X

• sur Kobo: https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/simon-dale-et-les-chatons-de-feu

• à la Fnac: https://www.fnac.com/livre-numerique/a21083983/Dieter-Moitzi-Simon-Dale-et-les-chatons-de-feu#FORMAT=ebook%20(ePub)

• sur d’autres plateformes: https://books2read.com/u/4NqJGJ

Demain, le zoom est… sur moi

Ah, qu’est-ce qu’on ferait, en tant qu’auteur auto-édité et auto-publié, s’il n’y avait pas Facebook et ses groupes spécialisés? Je vous le demande! À moins d’être né avec une cuillère dorée dans sa bouche, d’avoir hérité de Mamie, Tata Yoyo, Pierre Bergé, ou de gagner une fortune en tant que cadre sup’ d’une grosse entreprise cotée au CAC40, on n’a pas le budget de faire une campagne Amazon Ads ou Facebook Ads sur le long terme. Croyez-moi, j’ai essayé, ça m’a coûté des sous, mais pas rapporté ni ventes ni notoriété planétaire.

Alors, les groupes sur Facebook… franchement, j’adore. Non seulement, sur certains, on a le droit de faire un peu de promo (aux frais de la princesse, en plus), droit dont je m’efforce de ne pas abuser, mais ce sont souvent des endroits où se retrouvent des gens très, très sympas. Forcément – les antipathiques, comme on sait, ça ne lit pas. Surtout pas des romans M/M. Certain•e•s membres de ces groupes vous aideront à retrouver ce roman dont vous avez juste retenu les mots-clés « frère / banlieue / bonbons à la fraise »; mieux, ils vous donneront titre, auteur, éditeur, date de sortie et nombre de pages. Avec le sourire, en plus. D’autres membres vous recommanderont un livre que vous n’auriez même pas feuilleté et qui deviendra votre méga-coup de cœur de l’année. Et d’autres… organiseront des jeux, des concours, des débats, des votes, dans la joie et la bonne humeur.

Un de ces groupes où je suis inscrit, pour mon plus grand bonheur, est celui des « Passionnés de littérature M/M ». Maintenant, attention, retournement de situation tout à fait surprenant – si je vous en parle, de ce groupe précisément, ce n’est pas anodin (**l’audience retient son souffle**). Non, c’est que demain, il y aura un événement spécial, dans ce groupe (**tout le monde fait: « Oh! »).

En effet, tous les samedis, c’est journée « Zoom sur ». Viennent y parler des auteur•e•s, traducteurs•trices, correcteur•trices, éditeurs•trices, etc. Et demain, c’est mon tour (ah, quand le boucle se boucle, tout le monde est content, hein? Le suspense devint insoutenable, je parie…).

En revanche, je ne viens pas en tant qu’auteur, mais en tant que graphiste.

N’empêche, venez me voir, lire mes posts, me poser vos questions, etc. Il y aura peut-être même un truc à gagner, qui sait?

Donc, n’oubliez pas: demain, 10 février 2024, à partir de 6h du matin (non, là, je déconne!), rendez-vous sur:

https://www.facebook.com/groups/lespmm

Et si vous n’êtes pas encore inscrit•e•s, qu’attendez-vous?

mon nouveau roman — sortie imminente!

Ça y est — mon nouveau roman est bientôt disponible. Je viens d’en terminer la version française, il a été relu et corrigé, et même la mise en page est finie. Je suis aux anges!

La date de sortie sur Amazon et Kobo est fixée au 20 janvier 2024. Ce roman sera le premier tome d’une série paranormale (avec une histoire d’amour, of course) qui porte le titre Les aventures extraordinaires.

Et ce premier tome, c’est Simon Dale et l’hippopotame rose.

Voici sans attendre le résumé:

Après avoir obtenu son master en sciences politiques, le jeune Britannique Simon Dale s’installe à Paris, la ville natale de sa mère, pour y chercher un emploi. De façon inattendue, il se fait embaucher par une agence internationale dont il n’a jamais entendu parler avant : l’UNBUA (United Nations Bureau of Uncommon Affairs) ou, en français, le Bureau des affaires extraordinaires des Nations Unies.

Son nouveau patron, le sous-secrétaire Rodélio de Montferrat, s’avère beau comme un diable. De toute évidence, il est aussi casse-cou qu’étrange. Une heure seulement après son entretien d’embauche, voilà Simon embarqué dans un avion à destination de Louxor à côté de cet homme. À ce qu’il paraît, le président égyptien a été attaqué, et l’UNBUA est dépêché sur place pour enquêter.

Simon est loin de se douter de ce qui l’attend. Même dans les rêves les plus fous, il n’aurait pas pu le deviner, d’ailleurs. Le mot « bizarre » semble faible pour décrire les créatures qu’il va rencontrer, les aventures qu’il va vivre et les situations dangereuses auxquelles il devra faire face.

Peut-être que le terme « affaires extraordinaires » aurait dû lui mettre la puce à l’oreille…

Je vous promets bien des retournements de situation et des aventures, avec des passages de suspense et beaucoup d’humour, qui vous feront souhaiter que le tome 2 suive au plus vite (pas d’inquiétudes, j’ai d’ores et déjà commencé l’écriture de cette suite).

En attendant, vous pouvez pré-commander ce tome 1 sur Amazon, Kobo et à la Fnac

Dirk et le Premier ministre… un avant-goût

Dirk Bormann se trouve toujours en Suède, tout seul dans la maison de sa tante Karin et de son nouveau mari Sven, sur une île isolée à trois heures de Stockholm…

Quand je me suis réveillé, je me suis immédiatement rappelé quel jour on était aujourd’hui. Mon cerveau fonctionne de manière mystérieuse, vous savez. J’oublie souvent des noms ou des mots en un clin d’œil, je les confonds. Mais les dates et les événements ? Ça, je m’en souviens sans faute.

Alors oui, je savais qu’aujourd’hui était un jour spécial pour moi. Ça ne devrait pas être le cas, mais ça l’était. Je savais aussi que ce ne serait pas une journée de bonheur, mais une journée de merde. Pour des raisons. Ne me posez pas de questions.

Je me suis extrait du lit, déjà grincheux, j’ai pissé, j’ai jeté des vêtements au hasard sur mon corps nu, et je me suis traîné dans la cuisine pour préparer un bon gros litre de café. Il me le fallait fort, et il me le fallait aussi noir que mon humeur.

La météo était géniale. Du soleil, des températures douces, une légère brise d’été. Les oiseaux chantaient, ce qui était la seule chose à couper le silence assourdissant de l’île.

Ach, Stinksö. Quelle barbe. En allemand, nous dirions que c’est un endroit, « wo Fuchs und Hase sich gute Nacht sagen ». Où le renard et le lapin se disent bonne nuit. En français, nous l’appellerions « le trou du cul du monde ». Plutôt explicite, non ? Je suis sûr que les Suédois ont un mot encore plus court et plus simple. Ils disent « Stinksö ».

Oui, exactement. C’est le nom de mon île maudite.

Je vous en prie.

À onze heures du matin, je prenais mon énième tasse, assis sur la terrasse, regardant d’un air maussade le bosquet devant moi, pensant, Mon Dieu, nature, nature, nature… comment tant de nature est-elle arrivée ici ? Genre, des tonnes, et partout aussi ; nature verte et pleine de sève et débordant de vie. Pouah.

C’est là que la ligne fixe a sonné. Nous n’avons pas de Wi-Fi ici, mais une ligne fixe en état de marche. Allez comprendre pourquoi.

Tasse à la main, je me suis précipité à l’intérieur car allô, les vivants me contactent.

La personne au bout du fil s’est avérée être ma tante Karin.

« Bonjour, chéri », a-t-elle lancé.

« Salut, Tatie. »

De son côté, quelqu’un a crié un avertissement dans une langue qui ressemblait étonnamment à du… grec ? Qu’est-ce que c’était que ça ? Ma tante était censée voguer sur la mer Baltique ! Avant que je puisse demander ce qui se passait, elle a dit chaleureusement : « Je suppose que j’ai pas besoin de te demander comment tu vas. Alors, je vais plutôt demander : comment tu t’en sors ? »

« Je vais bien, Tatie. »

« Hmph. »

« Je te jure. Je comprends même pas pourquoi tu me poses la question. »

« Arrête. Nous savons tous les deux quel jour nous sommes aujourd’hui, et nous savons tous les deux à quel point t’es toujours abattu. »

« Je suis pas abattu, Tatie ! »

« Me raconte pas de salades ! » Son ton était vif. Tante Karin ne fait pas dans la patience.

Nous sommes restés silencieux un moment. Un pivert a toc-toc-toqué sur un arbre derrière la maison. Puis, ma tante a murmuré doucement : « Ah, ce que j’aimerais être avec toi, mon chéri. »

« Tu ferais quoi ? Me tenir la main ? Me tapoter la tête ? »

Elle a gloussé. « Comme si ça avait déjà changé quelque chose. Non, nous pourrions discuter. »

« Nous sommes en train de discuter, là. »

« Face à face, petit idiot. »

Je me suis lové dans ma chaise en bois en me grattant la tête. « Crois-le ou pas, il y a rien à discuter. » Je l’ai entendue à nouveau faire « Mmph ! », alors j’ai ajouté : « Rien dont je ne voudrais discuter. »

« Ça fait cinq ans jour pour jour ! Je pense que tu devrais commencer à exprimer tes émotions. »

« Il y en a pas. »

« Connerie. C’était ta mère, pour l’amour de Dieu. »

« Sur le papier. »

Tante Karin a soupiré. « Pour quelqu’un qui prétend pas être affecté, t’as l’air assez énervé, chéri. »

Sa voix était si tendre que j’ai finalement cédé. « D’accord. Je suis peut-être un peu pensif aujourd’hui. Exactement pour les raisons que tu suggères. Le fait que je sois coincé dans ce dernier avant-poste nordique de la civilisation m’aide pas. Pas plus que la perspective de rien avoir à faire de la journée. »

« Pourquoi t’as pas pris le ferry pour Stockholm, ce matin, mon chéri ? »

« Je me suis réveillé trop tard. »

« Tu pourrais toujours prendre celui de midi. »

J’ai soupiré. « Je sais que ça a l’air fou, mais je préfère éviter la foule, aujourd’hui. » Je ne lui ai pas dit que je n’avais pas quitté Stinksö depuis une semaine car elle se serait inutilement inquiétée. « Je pense que je vais faire une promenade, plus tard. Ou peut-être allez voir Gunnar. J’en suis pas sûr. Tu sais à quel point il est bavard. Je vais probablement rester ici et parler à un écureuil. »

Tante Karin a gloussé. Puis, elle a dit : « Pourquoi tu descends pas au hangar à bateaux ? Je suis sûr que t’y as même pas encore été faire un tour. Tu pourrais, je ne sais pas, aller nager. »

J’ai grommelé : « J’ai toujours su que t’étais folle, Tatie. Mais là, tu donnes un sens nouveau au mot ‘folie’. La flotte est à 15°C tout au plus ! Si tu veux me tuer, sache que je lègue mon argent à des organisations d’aide aux homos. T’auras pas un centime. »

Elle a ri de bon cœur. « Espèce de garçon stupide. Comme si je voulais ton argent. Okay, va pas nager. Fais autre chose. Il y a un bateau à rames, par exemple. »

J’ai entendu Oncle Sven dire quelque chose, que Tante Karin a immédiatement relayé. « On me dit qu’il y a aussi des kayaks. T’as pas adoré faire du kayak en Grèce, l’année dernière ? »

« Si, mais principalement parce que j’ai eu une courte aventure avec ce type au centre de sports nautiques. Stavros, c’est ça ? »

« Le jeune grand et beau avec le piercing à la lèvre ? Il s’appelait pas Yiorgos ? »

« Mais non, ça, c’était le serveur du café de la plage. Celui avec la pieuvre tatouée sur son bras. »

« Alors, c’était Christos. »

« Ou Dimitrios. »

« Athanasios ? »

« Peut-être Thermos. Peu importe. » J’ai soupiré. Elle est presque aussi mauvaise pour les noms que moi.

« Mais le kayak est une bonne idée », Tante Karin a insisté. « Je suis sûre que tu aimerais ça. Les petites îles autour de Stinksö sont si belles, si sauvages et naturelles… »

J’ai fait un bruit incrédule parce que davantage de nature ?

« … et elles sont faciles d’accès. Tu pourrais passer la journée sur une belle plage et penser à autre chose que… »

Je l’ai coupée : « D’accord, d’accord. Je vais y réfléchir. »

Nous avons discuté un peu plus, et j’ai appris que je n’avais pas halluciné. Tante Karin et Oncle Sven n’étaient en effet pas quelque part entre le Kattegat et Saint-Pétersbourg, comme je le croyais naïvement, mais en Grèce. Dans la maison de ma tante, où j’ai séjourné l’été dernier et où j’ai réussi à baiser le grand et beau Stavros à la lèvre percée, ou quel que soit son nom. Et Yiorgos avec le tatouage de pieuvre. Parmi d’innombrables autres.

« J’ai dit à Sven que j’avais besoin de soleil et de chaleur », a déclaré Tante Karin en guise d’explication. « Je voulais aussi descendre de ce bateau. »

« C’est un yacht, pour l’amour de Dieu », Oncle Sven a protesté en anglais. Il a dû comprendre le mot allemand « Boot », ce qui m’a fait supposer que le mot suédois était similaire. Oui, ma tante et moi parlons en allemand. Parce que nous sommes allemands.

Tatie a dit d’un ton apaisant : « Bien sûr, mon petit sucre d’orge. Un yacht. »

J’ai ri. Tante Karin… Elle est vraiment unique en son genre. Connaissez-vous beaucoup de gens qui aiment les croisières mais détestent être sur un bateau ? Ou sur un yacht, en l’occurrence ?

Quand on a raccroché, je me sentais mieux. Sur un coup de tête, j’ai décidé de suivre la suggestion de Tante Karin. Le kayak, vous savez. Qu’est-ce que j’avais à perdre ?

Ce passage est extrait de mon nouveau roman Comment attirer un Premier ministre dans son lit, le troisième et dernier tome de la trilogie de comédies romantiques Les Cœurs légers. Il sortira le 30 juillet prochain sur Amazon, la Fnac et Kobo et peut d’ores et déjà être précommandé au prix spécial lancement de seulement 3,90 € (ebook). Le format broché sera disponible un peu avant le 30 juillet, lui aussi au prix spécial lancement de 9,90 €.

Soldes de Pâques

Le printemps est enfin arrivé (du moins, à Paris), alors je me suis dit qu’il était temps de lancer des SOLDES DE PÂQUES !

Tous mes romans en français sont maintenant disponibles sur Amazon pour seulement 2,90 € (format Kindle) / 10,90 € (livre de poche), et ce jusqu’à Pâques !

Alors qu’est-ce que vous en dites ? Pourquoi ne pas se précipiter sur Amazon et en profiter pour s’en acheter un exemplaire, à lire ou à offrir ?

Voici la liste des liens :

« Le cercueil farci »

« Jusqu’à ce que la mort nous sépare »

« Putain ordinaire »

« Comment attirer un millionnaire dans son lit »

« Comment attire une rockstar dans son lit »

Le n°2 de la trilogie « Les Cœurs légers » est sorti!

Le deuxième tome de la trilogie Les Cœurs légers a été publié lundi dernier, 31 janvier. Il raconte comment Karim, que vous avez déjà brièvement vu dans le tome n°1, Comment attirer un millionnaire dans son lit, rencontre une rock star et l’attire dans son lit…

Voici le résumé:

Mec gentil rencontre rockstar torturée – quelles sont les chances qu’ils finissent ensemble ? À peu près zéro, n’est-ce pas ? Mais parfois, un cœur et un esprit ouverts peuvent faire des miracles.

Karim a aidé Trevor et Chao à mettre leur histoire d’amour sur la bonne voie. Il a même déménagé à Paris quand ils l’ont suggéré. Maintenant, il se retrouve sans boulot et tout seul dans la grande ville parce que Trevor et Chao partent poursuivre une quête importante et Dirk rejoint sa tante Karin en Suède.

La seule lueur d’espoir pour Karim est une mission inattendue : jouer le chauffeur pour une rockstar célèbre. Ceci dit – « célèbre »… Karim n’écoute que des chansons des années 80, du coup, il n’a aucune idée de qui est ce type. Et honnêtement ? On ne peut pas dire que le courant passe. L’homme, qui se fait appeler Angel Dust, s’avère maussade, renfermé, hautain, carrément hostile. Il est également… incroyablement beau. Pour Karim, l’homme de ses rêves.

Bah. Cette rencontre ne donnera jamais rien. Un chauffeur et son illustre client, tous deux venus d’univers différents, avec des caractères que tout oppose… Et pourtant, atterrir dans le lit d’une rockstar n’est peut-être pas la chose la plus difficile au monde (demandez à n’importe quelle groupie). Se faire une place dans sa tête et son cœur, en revanche ? Quelqu’un a dit impossible ?

Ceci est la deuxième romance d’été de la série Les Cœurs légers.

Vous pouvez trouver le livre sur

Amazon | e-book & broché

Kobo | e-book

Fnac | e-book

4 poems for free | 4 poèmes gratuits

The new issue of L’Autre Rive (the literary review of the Club Littéraire du Marais), of which I have to honor to be the editor in chief and graphic designer, features four of my poems, three of which are published for the first time.

Check them out here:

https://pdf.lautre-rive-la-revue.fr/Autrerive_No-3.html#p=59

Dans le dernier numéro de L’Autre Rive (la revue littéraire du Club Littéraire du Marais), dont j’ai l’honneur d’être le rédacteur en chef et le graphiste, se trouvent quatre de mes poèmes en anglais avec leur traduction inédite.

Pour les découvrir, c’est par ici:

https://pdf.lautre-rive-la-revue.fr/Autrerive_No-3.html#p=59